À PROPOS DE NOUS - ABOUT US

Vous voulez savoir comment tout cela a commencé ?!

Ma copine et moi avons emménagé dans notre maison et le jardin de l'arrière-cour se trouvait au milieu de la cour.... Il prenait beaucoup de place. La première chose que j'ai faite, c'est de le déplacer dans le coin arrière. Je l'ai trouvé trop petit pour ce que nous voulions cultiver, alors je me suis rendu sur YouTube et j'ai regardé quelques vidéos sur la façon de construire un lit de jardin surélevé.

La semaine suivante, je suis allée à Home Depot, j'ai acheté du bois, de la terre, du compost et je suis allée au marché Jean Talon pour acheter des plants de piments. J'ai commencé par les classiques : habaneros, scotch bonnets, ghosts, scorpions et reapers. J'ai construit notre jardin au début de l'été et j'ai passé les quatre mois suivants à m'occuper de mon jardin et à regarder des vidéos sur la façon de faire de la sauce.

Après avoir récolté les piments, j'ai commencé à faire de la sauce et à expérimenter avec la fermentation. Les premières batchs étaient désagréablement piquantes... J'apprenais l'échelle de Scoville. Après avoir donné d'innombrables bouteilles à des amis et à la famille, passé des week-ends à faire de la sauce et essayé diverses combinaisons de saveurs, j'ai commencé à développer une passion. Un jour, après une longue journée passée à faire de la sauce, je me suis fait livrer de la bière et j'ai donné une bouteille au livreur en guise de pourboire, car je savais que le magasin où je l'avais achetée proposait un grand choix de sauces piquantes, sans savoir que c'était le propriétaire du magasin.  Le lendemain il m'as écrit pour me dire que si je voulais un jour mettre ma sauce en vente, il aurait une place sur leurs étagères pour mes produits. C'est une chose d'avoir des amis qui disent que ma sauce est bonne, mais c'en est une autre quand cela vient de personnes que vous ne connaissez pas.


À partir de là, j'ai trouvé un nom qui me représentait et qui représentait l'endroit d'où je venais, j'ai fait faire mon logo par un artiste local, j'ai enregistré ma compagnie, j'ai obtenu mon permis de vente et j'ai suivi les formations du MAPAQ. Ma première production limitée s'est vendue en moins d'une heure. Une semaine plus tard, j'ai doublé notre production et tout s'est vendu en 3 heures.

Les magasins ont commencé à nous contacter pour vendre nos produits, mais comme nous ne produisions pas dans une cuisine commerciale, nous ne pouvions pas donner suite aux offres. Nous avons donc cherché des cuisines à louer et avons finalement opté pour une cuisine communautaire, qui était disponible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 et qui nous offrait un petit espace d'étalage. Ce fut une véritable expérience et nous avons beaucoup appris sur ce que nous aimions et n'aimions pas dans une cuisine commune. Moins de six mois plus tard, nous nous sommes surpassés et avons loué une cuisine à quelques minutes de chez nous, avec deux fois plus d'espace libre, un accès au réfrigérateur et au congélateur, et ce pour beaucoup moins cher. Il n'y avait pas à hésiter, nous avons déménagé. Aujourd'hui, nous sommes présents dans plus de 65 points de vente au Québec, de Montréal à Gaspé, avons remporté de nombreux prix et avons été publiés dans le magazine Châtelaine.

C'est l'histoire brute et sans honte de la création de MTHELL. Je suis peut-être le visage de l'entreprise, mais rien de tout cela n'aurait pu se produire sans le soutien constant de Sabrina, la mère de mon enfant et ma blonde.

 

- Zack

*********************************************************************************************

Want to really know how this all started?!

My girlfriend and I moved into our place and the garden in the backyard was in the middle of the yard…. It took up a lot of space. First thing I did, moved it to the back corner. I found it small for what we wanted to grow so I got on YouTube and watched a couple of videos on how to build a raised garden bed.

I then went to Home Depot the next week, bought some wood, soil, compost and went to the Jean Talon market to buy some pepper plants. I started with the classics… habaneros, scotch bonnets, ghosts, scorpions, and reapers. I built our garden at the beginning of the summer and spent the next 4 months taking care of my garden and watching videos on how to make sauce.

After harvesting peppers, I started making sauce and experimenting with fermentation. The first couple batches were unpleasantly hot… I was learning the Scoville scale the hard way. After giving countless bottles away to friends and family, spending weekends making sauce and trying out various of flavour combinations, I started to develop a passion. One day after a long day of making sauce, I had beer delivered to my place and I gave a bottle to the delivery driver as a tip as I knew the store had I got it from had a large selection of hot sauce.

Little did I know it was the owner of the place and he wrote back to me to say that if I ever wanted to put my sauce on sale, that he would have a place on their shelves for my products. It was one thing to have friends that said your sauce was good but another when it comes from people you don’t know.

From there I came up with a name that represented me and where I’m from, got my logo made with a local artist, registered my company, got my permit for sale, and did my MAPAQ trainings. My first limited release sold out in less than an hour. A week later, I doubled our production and sold out in 3 hours.

Stores started to reach out to us to sell our products but as we didn’t produce in a commercial kitchen, we couldn’t go forth with the offers. So, we got to looking for rental kitchens and eventually settled on a community kitchen as it was available 24/7 and we had a small amount of shelf space. It was quite the experience, and we learned a lot about what we liked and didn’t like in a shared kitchen. Less than 6 months later, we outgrew ourselves and rented a kitchen a few minutes away from home and had twice the amount of self space, access to the fridge and freezer and for much less. It was a no brainer to make the move. Now we are in over 65 points of sale across Quebec from Montreal to Gaspé, won multiple awards and published in Chatelaine magazine.

 

That’s the raw, uncut story about how MTHELL started. I may be the face of the company but none of this could have happened with the continuous support of Sabrina, the mother of my child and my girlfriend.

 

- Zack